Ruptures

Business slash Pretty Woman

Pour celles et ceux (car il y a quand même des « ceux » qui lisent mon blog) qui ne le savent pas encore, je suis apprentie. Et par « apprentie », je n’entends pas que je passe mes journées assises à côté de Gepetto qui m’explique comment sculpter le bois pour que Pinocchio ait l’air d’un vrai petit garçon. Non, je suis étudiante en marketing et pour parfaire mes merveilleuses connaissances sur ce milieu, je suis dans un programme d’apprentissage, c’est-à-dire que je passe deux jours par semaine à la fac et trois en entreprise (le rythme d’apprentissage peut varier selon les facs ou le nombre d’années d’études ou encore la spécialité). Ce qui veut dire que j’ai passé l’été à passer des entretiens d’embauche. (sauf le mois où j’étais en Asie)

Pas facile de passer des entretiens d’embauche, surtout quand on vient de se faire larguer et qu’on a le moral dans les chaussettes. Mais en bonne partisane du “faut-pas”montrer-qu’on-souffre-à-cause-d’un-débile”, je ne me laisse pas abattre. Et puis, comme j’aime bien voir le bon côté des choses (même quand la tâche paraît impossible), je me dis qu’au moins, ça me permettra de penser à autre chose. En vérité, ça m’a surtout fait penser que les entreprises et les machines à spermatozoïdes ambulantes, dans le fond, c’est pareil. Qu’aller à un entretien d’embauche et à un rencard, dans le fond, c’est pareil. Les mecs et les employeurs sont atteints des mêmes syndromes. Quelquefois, les employeurs SONT des mecs, mais je travaille (enfin je vais travailler, à partir du 18 octobre), dans le marketing, donc ça n’a pas pour moi été la majorité des cas.

1. Le Syndrome de La Divinité Suprême. On est toutes tombées, un jour, sur un mec qui ne se sent pas heureux dans son slip s’il ne nous surpasse pas dans tous les domaines. Autrement dit, il essaie à tout prix de nous faire savoir qu’il nous rend un merveilleux service en sortant avec nous. Genre « Quelles chansons de Tel Groupe t’écoutes ? Ah tu connais pas ? Tu n’as pas de goûts », comprendre « MOI je suis Dieu et MOI je sais ce qu’on doit écouter ». Vécu avec K. (si vous ne savez toujours pas qui est K., vous pouvez lire mon « about » que j’ai rebaptisé en Mi-Carrie Bradshaw, mi-Bridget Jones), donc j’aurais pu appeler ce syndrome Le syndrome de K., mais j’avais une autre idée toue chaude pour celui-là, alors je le laisse pour plus tard… Et cette situation a été vécue également avec l’entreprise Pétrole (pour des raisons évidentes de confidentialité, je ne mettrai pas les vrais noms des entreprises), où ils ont passé l’entretien à me rabaisser inutilement. Genre : « Donnez-moi un exemple d’une situation de conflit dans laquelle vous vous êtes trouvée. J’aurais préféré que ce soit un exemple de votre vie professionnelle, mais vous avez tellement peu d’expérience… alors un exemple de vos études, que voulez-vous que je vous dise. » Ben oui, j’ai vingt ans, et forcément, j’ai moins d’expérience que toi qui es une vieille chouette – et j’espère que t’en as, de l’expérience, parce qu’il faut bien que t’aies quelque chose. Ou alors, l’entreprise Téléphone : “Racontez-moi votre dernier stage, en anglais, en quelques mots”. Moi qui suis toute contente de me la péter avec mon anglais courant, je commence à lui expliquer le stage, en employant le bon vocabulaire et tout et tout… et lui il me coupe : “Nan mais, j’ai dit en quelques mots. Vous êtes pas concise.”

2. Le Syndrome de l’Indécis. On le connaît, lui aussi, toutes. Hélas, c’est très répandu chez les mecs. Il y a différentes versions de l’indécis. Version A : « J’aimerais bien m’engager avec toi », puis cinq minutes plus tard « Non mais en fait j’ai pas envie de m’engager là tout de suite, parce que je sors d’une rupture » (ouais tu parles tu as rompu avec ton ex il y a six ans, il serait peut-être temps de passer à autre chose non ?). Version B : « Je vois une autre fille aussi, et j’arrive pas à me décider, c’est trop dur ». La version entreprise, je l’ai vécue avec l’entreprise Assurance. J’arrive en entretien (pour lequel j’ai dû payer le ticket de métro, parce que leur entreprise est comprise dans une zone non comprise dans mon titre de transport), et là on me dit : « En fait, on n’est pas sûrs, mais votre poste est peut-être déjà pris ». Ah, je suis contente de m’être déplacée. Et une semaine plus tard ? « Ah mais, on n’est toujours pas sûrs ». Il arrive un moment où il faut se renseigner, peut-être. Ou alors, l’entreprise Parfum, qui m’envoie un mail disant que « Finalement, j’ai décidé de pas prendre d’apprenti ». Ce qui serait bien, c’est de prendre cette décision avant d’engendrer les coûts de ressources humaines nécessaires à une ribambelle d’entretiens. Maintenant, je dis ça, je dis rien.

3. Le Syndrome du Mort. Vous avez un premier rendez-vous, vous attendez les trois jours réglementaires pour reprendre des nouvelles du mec, genre « Est-ce que ça te dit qu’on se revoie ? », parce que tu avais  l’impression que le premier rencard s’était bien passé. Et là, vous n’avez pas de réponse. Plus jamais de votre vie. Je l’ai vécu avec un dénommé Wolf (je vous laisse spéculer quand à la raison de ce surnom), et je peux d’ores et déjà vous dire qu’il ne répondra plus, parce que c’était en juin… 2009. Et si j’avais eu le cran de l’appeler, il m’aurait très probablement dit : « Ah j’allais justement t’appeler ». Le genre de truc que prédirait Berger dans l’épisode de Sex & the City consacré au He’s just not that into you. Et un truc comme ça s’est passé avec deux entreprises, Banque et Patrimoine. J’avais un entretien avec les deux le même jour (le lendemain du jour où je suis revenue de Singapour, donc merci le décalage horaire !), et les deux m’ont assuré qu’ils me recontacteraient dès vendredi. Lundi, n’ayant eu de nouvelles ni de l’une, ni de l’autre, je décide de les appeler. Réponse de Banque : « Ah, j’allais justement vous appeler », et elle me dit ensuite que ma candidature n’est pas retenue. Bon, peut-être allait-elle justement m’appeler, peut-être que c’est vrai. Cinq minutes plus tard, j’appelle Patrimoine : « Ah, j’allais justement vous appeler », et elle me dit gentiment d’aller me faire voir, elle aussi. Et là, je me dis : appeler une entreprise trois secondes avant qu’elle décide de m’appeler elle-même, passe encore. En appeler deux, ça veut dire que les deux entreprises se sont foutues de ma gueule, point final. Et je ne parle même pas de l’entreprise Téléphone qui ne m’a plus jamais rappelée de son existence toute entière. Bon, comme j’avais trouvé un contrat, je n’ai pas insisté. Mais comme le mec a fait toute une histoire de son « Je vous appelle lundi à 18h30, et ne vous inquiétez pas, je vous appelle vraiment ». J’ai passé l’entretien le 23 août, son « je vous appelle lundi à 18h30 », je l’attends toujours.

4. Le Syndrome du Zombie. Ça commence comme le Syndrome du Mort, sauf que, d’après la définition même du zombie, au bout d’un moment, le mort ressort de sa tombe. Bon, ça c’est une situation vécue avec T., un gars qui m’attirait un max mais avec qui je ne suis jamais sortie parce que ce n’était pas réciproque. J’étais au lycée à l’époque, et j’avais des problèmes d’ordinateur, et le fils de l’amie d’un ami de ma mère a recommandé T., un informaticien terriblement sexy, pour venir le réparer. J’ai après consacré plusieurs mois de ma vie à inventer des problèmes d’ordinateur pour que T. revienne. Jusqu’au jour où il m’arrive un vrai problème, mon ordinateur ne s’allume plus, il y a un écran bleu avec une écriture elfique, je ne comprends rien, au secours. Evidemment, je me jette aussitôt sur mon portable, et j’appelle T. Il ne décroche pas (il filtrait mes appels à l’époque en fait), et je laisse un message. Après, j’oublie. Deux mois plus tard, alors que j’étais en train de consulter mes mails sur mon ordinateur réparé depuis longtemps, mon téléphone sonne. « Tu veux que je vienne réparer ton ordinateur maintenant ? ». Ben en fait, tu vois, le problème que j’avais, il était un peu urgent, donc j’ai pas attendu que tu bouges ton popotin pour le résoudre, merci bien. Et ça, ça m’est arrivé aussi avec l’entreprise Financement, où j’ai fini par être embauchée. J’ai passé un entretien fin juin, et un mois plus tard, alors qu’ils m’ont assuré que j’allais avoir une réponse avant la deuxième semaine de juillet, je leur envoie un mail (étant en Asie à ce moment-là, je ne pouvais pas trop téléphoner sans payer le prix fort). Je reçois une réponse automatique « Je suis en vacances jusqu’au 6 août, recontactez-moi à ce moment-là ». Bon d’accord, je vais attendre le 6 août. Je leur envoie un mail le 6 août, pas de réponse. Je les appelle, pas de réponse. Je leur envoie un autre mail, pas de réponse. Je suis contrainte de me résoudre à l’évidence : je ne vais pas me faire embaucher, et ils m’évitent parce qu’ils ont peur que je me suicide. Jusqu’au jour où je reçois un appel – le 23 août quand même ! – « Oui c’est l’entreprise Financement, est-ce que vous recherchez toujours un contrat ? On a eu d’autres candidatures, mais on est disposés à vous prendre vous ». Tu m’étonnes : votre entreprise, elle paie le minimum syndical. Tous les bons éléments ont dû trouver quelque chose ailleurs, si vous rappelez deux mois plus tard. Alors il reste plus que moi, qui ai passé des entretiens avec douze entreprises et qui n’ai été prise nulle part. Donc forcément, vous allez m’embaucher. Ha.

5. Le Syndrome de K. Vous allez enfin savoir pour quoi j’ai réservé le nom de « syndrome de K. ». Je ne sais même pas si toutes les filles en connaissent, des comme K., parce que moi j’ai pensé qu’il avait un comportement assez bizarre. C’est moi qui l’ai dragué, soit. Mais après, je l’ai laissé tranquille. C’est lui qui m’a contactée sur Facebook. C’est lui qui a commencé à discuter en ligne avec moi, alors que je facebookais tranquillement pendant le cours de droit et n’embêtais personne. C’est lui qui a discuté en ligne avec moi le soir qui suivait, et le soir d’après, et le soir d’encore après, et qui est parti sur des discussions qui ont duré trois heures. C’est lui qui, au bout du troisième soir, a fini par me demander de sortir avec moi. C’est lui qui après, m’envoyais cinquante textos par jour (je peux vous jurer sur mon bonnet C – qui fait ma fierté – qu’il était à l’origine de 90% des échanges de textos, et ce, malgré le fait qu’il était, comme moi, en pleins partiels). C’est lui qui a proposé le deuxième rencard. Et c’est lui aussi qui a proposé le troisième rencard, au cours duquel il a dit : « Je préfère rester célibataire ». Alors, vous comprenez maintenant que quand on prend en compte tout ce qui s’est passé, cette rupture arrive comme un cheveu sur la soupe. Et l’entreprise atteinte du Syndrome de K., c’est l’entreprise Gestion d’Actifs. Ce sont eux qui m’ont mis l’offre sous les yeux au cours du forum apprentissage de ma fac, et qui m’ont dit : « Si ça vous intéresse, envoyez-nous une lettre de motivation ». Ce sont eux qui m’ont contactée deux jours après la réception de ladite lettre de motivation, pour me dire « Oh mon Dieu on vous vénère, on veut absolument un entretien le plus vite possible » (bon j’exagère un poil, mais c’est plus ou moins ce qui s’est passé). Trois jours après le premier entretien, rebelote : « Oh mon Dieu on vous vénère, on veut un deuxième entretien ». Une semaine plus tard : « Oh mon Dieu on vous vénère, on veut un entretien avec la DRH et il faut que vous passiez un test PAPI ». Je passe le test PAPI. La DRH me dit : « Oh mon Dieu on vous vénère, le test a montré que vous étiez travailleuse et que vous saviez séparer votre vie privée de votre vie professionnelle » (j’ai envie de dire, je me suis pointée à votre p***** d’entretien alors que je viens de me faire larguer et que je trouve bien que j’arrive à me lever le matin, alors oui, pour les séparer, je les sépare). Et un mois plus tard, je reçois un mail : « Désolée, mais votre profil ne correspond pas ». Et là, j’ai deux solutions. Soit j’interprète ça littéralement, c’est-à-dire : « Merci d’avoir postulé, mais nous en fait ce qu’on cherche, c’est une feignasse qui se sent obligée de coucher avec toute l’entreprise pour prouver qu’elle existe ». Soit, tout comme le « Je préfère rester célibataire » de K. était à traduire par « Je préfère sortir avec ton amie, parce qu’elle rentre dans du 34 et toi pas », le « Votre profil ne correspond pas » de Gestion d’Actifs était à traduire par « On préfère embaucher Ginette, parce qu’elle a un piston et pas vous ». Et ça me paraît déjà plus probable.

Et puis finalement, le gros point commun, c’est que je ne suis pas faite pour sortir avec un mec bien, et manifestement, je ne suis pas faite pour être embauchée par une entreprise bien non plus. Par « entreprise bien », j’entends une entreprise située à moins d’une heure de Paris et qui paie un peu plus que le minimum syndical. Et par « mec bien », j’entends un mec de plus de 1m80, pas repoussant et qui en plus me considère comme un être humain.

Amen.

(le truc qui n’a rien à voir: je me suis inscrite au concours “Meilleur espoir blog” de Cosmopolitan alors votez pour moi si vous m’aiiiiimez)

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23 commentaires

  1. Je n’ai rien à dire, tout es dit, tu es parfaite et franchement si j’étais un employeur je te prendrais direct ! Tou é Stoupéfiante !

  2. aha mais ne leurrons pas les recruteuses peuvent aussi avoir de sacrés tocs !

    Mon cas préféré (et récurrent) : La RH qui fait semblant d’être ta nouvelle meilleure amie au bout de deux secondes chrono d’entretien, alors que t’es encore toute stressée, et dans le seul but de te faire avouer plein de trucs que tu n’aurais pas dit si elle n’avait pas fait semblant de copiner avec toi.

    Ce qui est doublement débile, 1 parce que tu n’as aucun cadavre à cacher et que de toute façon tu n’avais pas besoin de ça pour te présenter avec honnêteté, à la limite un verre de whisky c’est plus intéressant comme approche
    2 parce qu’estimer qu’il suffit de parler sacs et petits copains pour faire baisser la garde, c’est de la misogynie pure et c’est pas parce que ça vient d’une femme que c’est plus honorable.

  3. Mdrrrrrrr avec le syndrome “K”!!!
    Mais c ne pas tjrs les mecs qui draguent sur FB ;o)
    Le piston-age existe et pour le mètre quatre-vingt fait gaffe de ne pas le trouver dans l autre sens!!
    80×100
    J aime l humeur dégagé dans ton billet et bien écris!

  4. Heureusement que tu écris bien et que j’ai eu envie de rire… parce que la recherche de boulot/apprentissage, ça fait pas envie dans le fond.

  5. J’adore ta comparaison entre réaction des mecs et entreprise!!!Tellement vrai. Je me suis bien reconnu dans tes descriptions, pour les mecs et les boulots!Mais juste une chose ne dit pas je ne suis pas fait pour sortir avec des mecs bien, ou être embauche dans une belle entreprise. Tu peux me croire tout a une raison, bosser dans tel entreprise ou sortir avec tel mec. Ne jamais regretter, ça te rend plus fort, plus vigilant et surtout ça va te permettre de te connaître et savoir ce que tu veux ou ne veux pas!

  6. Ouf, j’suis fonctionnaire, je n’ai plus à vivre tout ça (oui parce qu’en plus, j’ai passé le cap de la trentaine, roh la vieille…). Par contre les mecs, heu, je suis toujours à 15000 pas loin de devenir comme Norbert (qui me demande par ailleurs de te demander quelle est en centimètre, la taille d’une bite de taille normale;…), un mec. Oui, je suis caméléon, je deviens pire qu’un mec dans le relationnel. L’âge…? Les mauvaises expériences….?

  7. Bhé faut pas me faire rire quand je suis malade..j’ai manqué de m’étouffer…
    Vu ton humour et ta façon d’écrire, crois moi tu finiras avec un mec bien et une entreprise bien..voir mieux (vu ton interprétation du bien) !

  8. Tiens j’ai un peu l’impression de connaitre tous les syndromes précités… et les “votre profil ne correspond pas aussi d’ailleurs”… niveau boulot y’a le “vous n’avez pas assez d’expérience” … qui est du genre pas mal, surtout quand tu sors de l’uni et que justement tu en cherches de l’expérience…
    Finalement mecs et boulots… même combat !!

  9. Excellent article et tellement vrai (malheureusement)!
    Pour avoir fait du recrutement, je peux te dire que certains candidats sont pas mal non plus dans leurs genres!

  10. J’ai beaucoup aimé ton article… j’espère que quand je devrai postuler pour une place de prof, on ne m’emmerdera pas autant… (Je pense que c’est plus cool). Sinon j’ai vraiment aimé ton parallélisme entretiens d’embauche – hommes

  11. Perso, le truc qui me fout dans la merde quand je cherche un job, c’est pas mon expérience (que je commence à avoir quand même..)
    C’est… mon physique.

    Ouaip Madame.
    J’ai 23 ans, mais malheureusement pour moi… on m’en donne 16, 17 les jours ou je suis maquillée.
    Et malheureusement, beaucoup d’établissements scolaires (puisque je suis surveillante) pensent que comme je fais jeune, je ne saurais pas me faire respecter.
    Je pense pouvoir dire que ce n’est pas le cas.
    Tant pis pour eux, ils ne le sauront pas.

    ps : sinon j’ai voté :)

  12. Ca m’a fait marrer mais c’est pas drôle en vrai ;-)
    Il n’y a pas de raison que tu ne décroches pas un futur job dans une boîte bien. C’est bizarre mais je crois qu’il faut savoir galérer pour ensuite être bien dans sa nouvelle entreprise ! Non ?

    P.S. : Sinon, j’ai voté pour toi sur le site de Cosmo !

  13. Y’a pas à dire, ça a quand même l’air vachement plus simple la vie pour nous, les mecs. En tous cas bon courage pour le concours Cosmo. Si on m’avais dit un jour que j’irai voter sur le site de comme Cosmo…

  14. c’est dur de trouver du boulot..je suis en plein dedans ) (enfin j’ai un boulot mais je cherche ailleurs et les opportunités ne se bousculent pas !)

  15. excellent!

  16. moi, je le trouve terrible ton article et t’en as vécu des choses pas agréables pour ton jeune âge!
    donc je vote pour toi parce que qu’en même……Un jour, tes talents seront reconnus et par le marché du travail et par les hommes et ce jour-là…….va y avoir des étincelles!!!!

  17. Et cet épisode de docteur House alors ?

  18. Les mecs tout comme le job, ça arrive alors que tu t’y attends le moins. Un jour, paf, ça te tombe sur un coin de la figure.

  19. Superbe article, mais juste une question : on appelle comment un mec qui a plusieurs syndromes ? Moi je l’appelle “le pot pourri” mais vu que tu sembles experte tu aurais pas un petit nom qui trainerait ?

  20. Super article (oui comme tu le vois je suis en train de lire ton blog de la fin au début mais je m’emmerde au bureau).
    Tellement vrai en tout cas la comparaison. Ya aussi que je suis tout aussi stressée lors d’un entretien d’embauche que lors d’un premier RDV. Dans les deux cas tu es jugée sur ce que tu es (même si c’est pas la même partie de toi qui est jugée, et encore…). Dans les deux cas tu attends le coup de fil dès que tu en es sortie. Dans les deux cas enfin, si la réponse est négative tu es déprimée car tu penses que tu n’es pas assez bien pour eux/lui et que tu trouveras jamais qqun/une boîte qui voudra bien de toi.
    N’ai-je point raison ?

    1. Tu fais des remarques super judicieuses.
      On pourrait peut-être coécrire un article un jour et qui sait, ça te donnera peut-être envie de bloguer :)

      1. Si c’est pour se moquer c’est pas sympa !
        Si c’est sincère, merci ca fait plaisir. J’essaie comme je peux d’illuminer le monde des lumières de mon esprit réduit de stagiaire oisive.

        1. Evidemment que c’est sincère :-)

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