Rencontres

Le soutien, les défis, la plante et le chieur

C’est fou le nombre d’articles de mon blog inspirés par des épisodes de How I Met Your Mother. N’empêche, c’est un peu un mix de Friends et Sex & the City cette série, on a cinq potes qui se retrouvent dans un bar mais de l’autre, on explore aussi des aspects sérieux (ou pas) de la vie de couple et la vie sexuelle. Cet article ne sera pas aussi dirty que le précédent inspiré de la série… je vais juste partager mes réflexions sur un grand débat qui a eu lieu dans le dernier épisode de HIMYM diffusé aux Etats-Unis : couple-soutien ou couple-défi ?

Pour une fois, ce n’est pas Barney Stinson qui ouvre le débat (ce qui est logique étant donné que ça parle de couple et non de cul… je connais des mauvaises langues qui diront que dans ce cas, c’est bizarre que j’en parle de ce débat… à ces mauvaises langues je réponds « prout »). On a d’un côté Marshall et Lily, couple-soutien, toujours d’accord sur tout, qui se soutiennent mutuellement, qui ont les mêmes goûts, bla bla bla (insérer chanson de La Belle au Bois Dormant ici). De l’autre, Ted et sa nouvelle copine Zoey, qui ne sont jamais d’accord sur rien, au point que Zoey dirige la bande de férus d’architecture qui veulent empêcher la destruction d’un vieil édifice pour y construire un nouveau… construction qui est menée par Ted. Je vous expliquerais bien lequel est le couple-soutien et lequel est le couple-défi, mais dans leur grande majorité, mes lecteurs ont plus de deux neurones, donc je pense que vous avez compris tous seuls.

Certains pensent que les contraires s’attirent (ce qui m’a été prouvé en cours de physique avec les électrons et les protons qui se courent après ou je sais plus trop quoi), et d’autres pensent que qui se ressemble s’assemble. Qui aura le dernier mot ?

Le but de l’épisode est de déterminer lequel est mieux. Présentés comme ils le sont dans l’épisode ? Franchement aucun. Mieux vaut être seule que mal accompagnée moi j’dis. Est-ce que j’aimerais vivre avec une plante qui me dit que toutes les conneries que je m’apprête à faire sont l’idée du siècle ? Non. Est-ce que j’aimerais vivre avec un chieur qui refuse systématiquement mes choix de films à aller voir au ciné ? Non. En fait, c’est pour ça que je suis toujours célibataire : je suis trop difficile. Je refuse les plantes et les chieurs. Et les amoureux transis de leurs ex, mais ça n’a rien à voir dans l’histoire.

Mais si vraiment je devais choisir, sous peine de mourir dans d’atroces souffrances ? Je pense que je choisirais la plante. D’ailleurs la plupart de mes éphémères relations étaient des couples-soutien. La pire plante que j’ai jamais connue, c’était S., avec qui j’étais sortie quand j’avais 15 ans (c’était il y a 6 ans, mais le traumatisme est toujours là). J’avais quand même tenu environ un mois, mais j’ai fini par craquer.

Parce que le gars, à 17 ans, il n’avait vu aucun film dans sa vie, il n’avait lu aucun bouquin… je ne suis pas une championne de la culture pourtant, mais lui c’était un cas social. Quand je lui ai parlé des Trois Mousquetaires, il m’a demandé de quoi je parlais. (j’aurais aimé dire que je plaisante ou que j’exagère, mais non, c’est pile ce qu’il a dit) Par contre, il était prêt à croire que tout bouquin ou tout film dont je lui parlais était forcément génial si je l’avais aimé. Je lui demande pas de croire systématiquement que tout était nul… mais au moins de faire travailler son esprit critique. Ou je sais pas moi, d’aller voir au moins un des films dont je lui parlais, histoire de vérifier que je racontais pas de la merde pour me foutre de sa gueule ?

Mais dans une mesure moins plante, le couple-soutien peut être sympa. Genre, quand j’étais avec F., on avait à peu près les mêmes goûts sur tout : la bouffe, le sexe, les séries, les films, on était même tous les deux des grands fans de Stephen King. On avait genre 60 likes Facebook en commun, quatre fois plus qu’avec tous mes autres amis. (je devrais faire un site de rencontres basé sur le nombre de likes Facebook, ça serait marrant…) Nos meilleurs moments, c’étaient nos soirées à bouffer, à regarder et à se faire des cochonneries, et là j’avoue j’étais plutôt contente qu’on soit d’accord. Il a lui-même admis après notre rupture qu’il aurait du mal à retrouver quelqu’un avec qui il aurait autant d’atomes crochus – il doit être plutôt couple-défi lui, à en juger par ses actes. Bon après forcément, on n’était pas d’accord sur des points essentiels. Genre, il trouvait que c’était normal de répéter à quelqu’un qu’on ne le larguera pas et après de le larguer. Moi je trouvais pas ça normal. Et du coup ça a clashé entre nous.

Avec K. on était plutôt couple-défi, et je pense que si K. s’était pas aperçu avant moi que ça marchait pas entre nous, j’aurais fini par me barrer toute seule. Genre, il avait sa musique qu’il fallait absolument qu’il écoute et qu’il fallait surtout pas qu’on critique, et moi j’avais ma musique qui ne correspondait pas du tout à ses critères – musique commerciale genre Lady Gaga, si vous voyez ce que je veux dire. Genre, il aimait pas les sucreries et me critiquait parce que j’en mangeais trop. (mais bon, entre mes sucreries et l’approbation d’un mec, mon choix est vite fait…) Je crois qu’en fait notre seul point commun c’était qu’on était tous les deux des fans de Friends. C’est ça qui a fait qu’on est sortis ensemble d’ailleurs : « – Qui a mangé le sandwich de Ross ? – Trop facile, son patron ! A moi maintenant ! Les prénoms que Monica voulait donner à ses enfants c’est Emma pour une fille et pour un garçon ? – Euh… – Daniel ! C’est Daniel ! J’ai gagné ! ». (à noter que bien évidemment, c’est moi qui ai gagné ; sinon je vous aurais pas mis la conversation)

Ne pas être d’accord sur certains trucs genre des films à voir ou des séries, ça passe. Pourquoi pas, ça peut engendrer une discussion animée, une bataille de polochons et pourquoi pas une partie de sexe endiablée. Certains désaccords peuvent même être complémentaires. Genre moi, je déteste faire la vaisselle, et F. adorait la faire (enfin ça le dérangeait pas quoi). Du coup, il me la faisait. Magique hein ? Mais il y a des points sur lesquels vaut mieux être d’accord quand même. Genre, si on a besoin de se marier, si on veut avoir des enfants, dans quel pays on veut vivre plus tard. Ou même, est-on pour ou contre l’avortement (si la nana tombe enceinte malencontreusement et veut avorter alors que le mec est anti-avortement, ça risque de faire chier le monde). Mine de rien, ces petits désaccords peuvent être totalement éliminatoires. (vous êtes le maillon faible, au revoir !) Non pas que j’ai déjà eu à gérer de tels désaccords, mais j’imagine que ça pourrait poser problème.

A la fin de l’épisode HIMYM, Ted conclut que le couple-soutien, c’est mieux. J’avoue que je suis assez d’accord avec lui sur ce coup-là. J’entends par là le couple-soutien, le vrai, pas le couple-plante tel qu’il nous est présenté par Lily et Marshall. « – Chérie je veux faire un stage non payé et du coup foutre en l’air nos vacances en Espagne et ton envie d’avoir un gamin. – Bébé tu as tout mon soutien. » (genre rebelle-toi espèce de cruche quoi… discutez-en au moins)

Après, je pense aussi que les couples-soutien sont plus nombreux que les couples-défi, et ce pour deux raisons :

  1. Les êtres humains ne sont pas des électrons. Et ce même si certains d’entre eux ont autant de neurones et de sens moral que des électrons, ils ne sont pas pour autant des électrons. Ce qui veut dire qu’ils ont plutôt tendance à être attirés vers quelque chose qui leur ressemble plutôt que vers quelque chose qui ne leur ressemble absolument pas. Souvent même, les êtres humains ont peur de l’inconnu. Demandez à Monk, il vous expliquera.
  2. Mais je me voile pas la face, ça arrive qu’on soit totalement attiré par quelqu’un qui nous ressemble pas. Dans ce cas-là, c’est autre chose qui nous attire chez la personne, genre son charme, son humour, son physique… mais rares seront les gens qui admettront après qu’ils sont en situation de couple-défi. Genre, quand j’étais avec K., je cherchais davantage nos points communs que nos différences. J’étais en mode « nous kiffons tous les deux Friends et nos parents sont divorcés, trop bieeeeeen », et je ne me rendais pas forcément compte du fait qu’on était différents sur à peu près tout le reste. Quand quelqu’un nous plaît on porte des sortes de lunettes à points communs, qui nous forcent à imaginer qu’on a plein de points communs avec notre choupinet. Je trouve d’ailleurs que Ted est étrangement lucide. En même temps, le pauvre, il a pas trop le choix, il a vraiment AUCUN point commun avec sa meuf. J’espère vraiment pour eux qu’au pieu c’est génial.

J’arrive pas à trouver une conclusion. Je pourrais dire que comme j’hésitais trop entre couple-soutien et couple-défi, j’ai préféré simplement rester célibataire pour éviter de me donner mal à la tête. Mais je crois que mon problème plutôt, c’est que je préfère être en couple-soutien, mais que trouver des gens qui me ressemblent, c’est pas évident (je suis inimitable c’est connu !), et qu’il faut en plus trouver des gens qui me ressemblent qui soient pas des plantes ni des abrutis toujours amoureux de leur ex. Et ça, il se trouve que c’est introuvable.

N’oubliez pas de voter au sondage du mois d’avril et aussi au concours Cosmo !

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20 commentaires

  1. Oh ben moi je sais pas trop dans quelle catégorie je pourrais me situer moi quand je suis en couple évidemment :) et je suis d’accord mieux vaut être bien seule que mal accompagnée !!
    et de toute façon les femmes on a le pouvoir

    1. Merci d’avoir commenté j’étais en dépression là lol

  2. ça faisait longtemps que j’avais pas lu un des articles. Les articles modes, beautés, livres bof bof. Et pis, sais pas, j’avais envie de prendre mon temps pour écrire un commentaire. C’est que je suis un mec occupé, moi ;-)

    Pour le reste, je ne suis pas la série How I meet your moms. Je connais un peu plus Friend.
    De, mon expérience personnelle, sans être certain d’avoir tout compris, je ne vois pas l’intérêt d’un couple s’il n’est pas soutien. Mon ex (ah ben désolé je pense encore à elle mdr) m’a appris énormément de choses sur ce point. À 30 ans (ah ben il faut ce qu’il faut lol), je comprends mieux l’intérêt d’échanger, d’avoir un maximum de trucs en commun et surtout de s’entendre.
    Ouais, ça parait bête mais au début, on est souvent pris par la passion du sexe et par l’attrait de la nouveauté… Je m’arrête là (je vous rappelle que je suis un homme occupé)

    MA

  3. Bébé, tu as tout mon soutien. Oups ! En tout cas, on a déjà un truc en commun toi et moi, on adore HIMYM.

    J’ai eu un tas de copains qui disaient oui à tout ce que je proposais. Le manque de réaction ou de défi me lasse à la longue. Tristan et moi après étions plus un couple défi. On s’était trouvé tout un tas de points en commun au départ et au fur et à mesure on voyait qu’en fait on n’avait rien du tout en commun. Le gars allait par exemple limite tous les jours au cinéma. Que je ne veuille pas adhérer à son style de vie, c’est mon problème, qu’il refuse que j’ai ma vie d’étudiante, c’était moyen.

    En fait, il faudrait un couple entre le couple-soutien et couple-défi idéalement. :) Mais comme tu dis, ça doit pas courir les rues.

  4. J’aurais tendance à rechercher le couple soutien, même si je sais que j’aurais aussi besoin du couple défi :D

  5. tiens c’est marrant souvent aussi quand je regarde un épisode de HIMYM ça me donne envie de me lancer dans un article géant sur les philosophies de l’amour, de la vie, de l’amitié; mais au final, par flemme, je ne le fais que rarement… bref… j’ai du rater des épisodes là parce qu’aux dernières nouvelles Zoey et Ted se “détestaient”…je suis à la bourre je pense. bref.
    de mon côté je sais pas trop de quel genre de couple je fais partie, disons qu’on est souvent en désaccord mais que je suis pour la “paix des ménages”, c’est bizarre mais je supporte pas les engueulades en fait, j’ai toujours peur que ça finisse par une séparation, du coup chaque fois qu’on hausse la voix, je suis terrorisée pendant trois jours et je me tape des paranos pas possibles. Alors forcément, j’ai tendance à éviter le conflit et à m’écraser bien trop souvent,c’était très frustrant au départ mais au final, je me dis qu’il y a des aspects de la vie sur lesquels on a des avis totalement différents et qu’on aura parlementer des heures, on arrivera jamais à un niveau de tolérance acceptable, du coup, on essaie de tous les deux faire des efforts et faire abstraction. Je ne dis pas que c’est la bonne solution sur le long terme, mais pour l’instant, c’est reposant.

  6. AH l’Amour !

    Je devrais d’ailleurs mettre plutôt un point d’interrogation en bout de phrase.

    Car le couple-soutien ou le couple-défi, je ne sais lequel choisir. Par amour de l’harmonie, j’aime être aimer mais je le fais dans le même sens. Découvrir et partager, critiquer et re-découvrir, voilà les épices d’u couple. Mais souvent cela finit en court-bouillon !

    J’aime la paix, le sexe et l’humour, mettre dans le sens qui vous convient ;-)

    1. Moi aussi j’aime la paix, le sexe et l’humour. On ferait un beau couple-soutien, comme quoi. :p

  7. Je ne préfère même pas parler de mes histoires passées…
    Par contre, je suis plutôt mi soutien-mi défi. J’veux dire, j’ai toujours été d’avis que même si les deux personnalités du couple sont pas d’accord, il faut en discuter. Et trouver un accord entre les deux.

    M’enfin je dis ca, mais je trouve personne (et je cherche pas non plus.)
    A croire que je me fais mon soutien-défi très bien toute seule et donc que je n’ai besoin de personne ! (en harley davidson ^^)

  8. J’ai enfin lu l’article !
    Je suis bien contente d’être célibataire finalement, je n’ai pas à me demander s’il me faut un couple soutien ou un couple défi… Même si je penche inévitablement du coté couple défi à chaque fois. (Avec néanmoins de nombreux points communs)

  9. Je n’aime pas les plantes non plus.
    Et j’ai du mal à comprendre les nanas en couple pour ne pas être seule. Je dis souvent, très élégamment, SURTOUT PAS DE GROS PORC sur le canapé. Je préfère encore être seule….

  10. Audrey a dit :

    Tu sembles sous-entendre dans ton dernier paragraphe que le choix entre couple-soutien et couple-defi est exclusif, mais ces deux cas de figure sont des extremes qu’on ne rencontre pas si souvent! Il ne faut pas oublier que les episodes de HIMYM sont souvent caricaturaux (c’est comme les roles de reacher-follower qu’on retrouve parfois dans le couple il est vrai haha, mais pouvant s’intervertir selon des domaines, social & professionnel par ex).

    Bref, la plupart des couples sont en compromis avec ces deux situations, tendent bien sur vers le couple soutien. C’est quand meme le but d’un couple, etre AVEC l’autre et POUR l’autre a mon sens.

    Sinon ton blog est tres distrayant a lire, j’aime beaucoup, meme si je ne suis pas toujours d’accord avec ce que tu dis!

  11. C’est clair que c’est chaud de trouver qqun qui te ressemble sans que ça soit too much. Généralement, les mecs avec qui je sors partagent mes goûts mais un peu trop. C’est à dire je suis un peu geek mqis pqs trop et eux sont totalement geek (du genre à te laisser en plan pour regarder leur animé de merde pendant toute la soirée alors qu’ils ont pas bossé de la journée…).
    Donc j’ai pas envie de voir mes goûts exacerbés à ce point-là.
    Mais en même temps j’ai pas envie qu’on se foute de mes goûts si je sors avec qqun qui en a des compléments différents de moi.
    Ma conclusion est la même que la tienne. Difficile de trouver la perle rare, donc on reste seule. snif.

  12. J’ai vu cet épisode, évidemment !

    Après, j’sais pas.
    D’accord sur tout, ça peut devenir lassant.
    Mais le couple défi, j’y pense même pas.
    Le mieux, c’est un mix des deux.

    En même temps, qu’est-ce que j’en sais, moi, l’éternelle célibataire ?

    1. Je suis arrivée à la même conclusion que toi: qu’est-ce que j’en sais, moi, l’éternelle célibataire?

  13. Très bon article. Tu m’impressionnes. Tu écris des romans, mais c’est genre trop drôle et ça reste cohérent. Je suis 100% pour le couple soutien, à condition de ne pas tomber dans le cucul.

    1. J’ai jamais su être concise. On me l’a reproché une fois en entretien. Mais manifestement ça empêche pas les gens de lire mes articles lol.

  14. Namkca a dit :

    Première fois que je passe par ici (attiré par l’odeur du Nutella) et que vois-je ? Des billets-réflexions sur HIMYM !

    Pour ce qui est de répondre à la question “cékoikémieu”, je suis du genre à adopter la position hautement courageuse et entièrement partagée par la majorité du “Baaaah… ça dépend”.
    Bon, je suis quand même plus partisan du couple-soutien, parce que se foutre sur la gueule de temps en temps c’est rigolo (enfin surtout se qu’il se passe dans le lit après), mais tout le temps non. Mais comme tu le dis, il y a soutien et soutien. Le genre “je fini tes phrases mdr” ou qui dit amen à tout, ça court à la catastrophe et à l’ennui…

    Donc soutien, oui mais pas trop.

    Namkca
    Ou comment ne pas faire avancer le schmilblick d’un iota

  15. D’accord avec Audrey, les couples tout soutien ou tout défi, ça doit exister, mais ce n’est pas la généralité, je pense que tous les couples sont un mix des deux, avec des pourcentages plus ou moins élevés de chaque côté. Personnellement je serais plutot pour un couple plus défi que soutien. C’est à dire savoir qu’on peut compter sur l’autre quand on a besoin de lui, mais savoir aussi que ni lui ni nous ne nous écraserons lorsque quelque chose nous tiendra à coeur. Un peu de clash de temps en temps, ça met du piment dans un couple, trop ça le détruit. Et vivre en couple sans soutien, c’est comme vivre en couple sans confiance, mais trop de soutien, ça lasse vite. Et puis, ne pas toujours être d’accord sur tout, quand on a des arguments posés et construit (pas ne pas être d’accord, juste pour l’esprit de contradiction), ne pas aimer les mêmes choses mais garder l’esprit ouvert, ca permet de connaître des univers différents, de découvrir des films/livres/chateurs qu’on aurait pas connu sans ça. C’est c’est qui est important pour moi !

  16. chanteur* pas chateur, quoi que on a les passions qu’on a … ça fait très confessions intimes ça : “nous sommes un couple accroc au forum de discussion mais j’ai peur que ça détruise mon couple” … hum je m’égare je m’égare non ?!!!

    Je précise que ce n”est pas ma situation – nous ne sommes pas accroc au forums de discussion – mais rien que d’imaginer un sujet comme ça dans cofessions intime, c’est quoi l’amour, ou tellement vrai, je rit toute seule derrière mon écran … mon dieu, je suis irrécupérable ;-)

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